Ouverture
Cet appel est venu du sommet de l’État, lancé par Nicolas Sarkozy lors de son voyage surprise à Bagdad. Et de fait, les relations franco-irakiennes s’intensifient. Les signes d’une reprise des relations économiques sont importants :
- Outre, la visite en Irak, le 10 février, de Nicolas Sarkozy qui avait rencontré le premier ministre irakien, Nouri al-Maliki.
- Il y a eu des visites de ministres irakiens à Paris.
- Les deux pays réactivent leur commission mixte économique après plus de vingt ans d’interruption.
- Notons aussi la construction prochaine d’une nouvelle ambassade de France à Bagdad, et de deux consulats, l’un à Erbil et l’autre à Bassora.
- Enfin le vice-président irakien, Adel Abdel Mahdi, effectue une tournée de trois jours en France (du 13 au 16 avril) et a déclaré souhaiter attirer des investissements français dans le secteur pétrolier (AFP).
La France doit «participer au développement économique de l’Irak» a déclaré le chef de l’État. L’estimation du cout de la reconstruction est de 400 milliards de dollars !
Sécuriser l’investissement en Irak
Par contre, comme le souligne les experts le manque de connaissance du terrain freine le retour des entreprises.
Dans ce cadre, la société Inter-Ligere s’est associé aux meilleurs spécialistes de la zone pour proposer un service de veille sur les opportunités d’affaires en Irak, l’aide à l’investissement, la sécurisation des affaires et la mise en relation avec les parties prenantes irakiens.
Jérôme Bondu
Source image : La Dépêche
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